waddiwasi.
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sunny » et que le coupable soit puni.

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sunny » et que le coupable soit puni. _
MessageSujet: sunny » et que le coupable soit puni. sunny » et que le coupable soit puni. Icon_minitimeJeu 8 Avr - 9:43:32

sunny » et que le coupable soit puni. Ev9t1z

SUNNY.
              « across the pathless sands
              through jungle, blind i run
              no guide taken in hand
              and no idea where to turn.

              i dream of lost desires
              fingers run through fur
              i drive myself insane
              the rain cascades onto the dirt. »

              ▬ the horrors.


EVAN SUNDAY HYDE-DELLANGE
seize ans. sixième année.
né le deux février mille neuf cent quatre-vingt dix-sept.
dans la banlieue de londres. maintenant à londres.
sang mêlé (pur & née moldue)


Dernière édition par Sunday E. Hyde-Dellange le Dim 11 Avr - 10:35:19, édité 10 fois
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sunny » et que le coupable soit puni. _
MessageSujet: Re: sunny » et que le coupable soit puni. sunny » et que le coupable soit puni. Icon_minitimeJeu 8 Avr - 9:43:58

he does not dream anymore.
J'aurais aimer rêver de mon procès. Mais les rêves ne font jamais ce qu'on leur demande. Déjà ils ne se réalisent pas, ce qui est quand même un grand problème. A quoi bon voir des images dans sa tête la nuit si ce ne sont d'ailleurs même pas les rêves que nous avons dans la réalité? Ce qu'on voit est bien trop fantaisiste pour y être, c'est un message bien trop codé pour qu'on y comprenne quoi que ce soit, et même si l'on essaye, sur le divan d'un psychanalyste qui épie nos moindres paroles avec ses petites lunettes et son petits carnets. Alors si je n'ai jamais rêvé de mon procès, c'est peut-être qu'il se réalisera. C'est tout ce que j'attends. Je me l'imagine si bien. Je suis sur le banc des accusés, serein, souriant, comme un pervers heureux de son crime diraient les journalistes, mais à mes yeux plutôt comme un innocent heureux de prouver son innocence. Ce procès, ce sera peut-être le purgatoire, et ce sera Dieu lui-même qui appuiera sur la balance pour m'envoyer en Enfer. Mais sincèrement je ne crois pas en Dieu. Je ne crois en rien. L'enfer, je le connais bien, et il ne me fait ni chaud ni froid. Mais c'est là que je dois aller. C'est le destin contre lequel je ne peux pas me battre. Tout a été écrit - par qui que ce fut, je m'en fous – et il a été écrit que Evan Sunday Hyde Dellange était coupable et qu'il irait en enfer.


he does not hope anymore.
Tout a commencé un jour de pluie. Tout commence toujours un jour de pluie. Enfin, dans les histoires, cela peut signifier tout et son contraire : c'est soit le mauvais présage d'une journée maussade, ou inversement ce qu'on croit être le malheur qui s'abat sur nous, mais qui révèlera le parfait bonheur avec les souris qui dansent avec le chat à la nuit tombée.
Ma mère a pensé que ce n'était qu'une erreur sur le calendrier de ma vie, un regrettable petit oubli de Dieu, qui aurait bien sûr me donner du soleil pour ma naissance, afin d'être en accord avec la vie qui s'annonçait pour moi. C'est ainsi qu'elle m'a donné le prénom de Sunday et m'appela toujours « Sunny », pensant rappeler ainsi toujours à Dieu la magistrale bévue qu'il avait faite.
Mais Dieu ne s'était pas trompé. Je ne l'ai pas compris tout de suite, mais j'en suis sûr maintenant. Tout le monde est à la recherche du bonheur, tout le monde veut une vie meilleure, et la vie n'est généralement qu'un chemin vers cet état de tranquillité parfaite – qu'on n'atteint finalement que dans la tombe, et qu'on espère alors être le paradis -. Dieu a donné à tous le droit au bonheur, celui de pouvoir prendre son destin en main et de changer son étoile. Mais pas à moi. Il m'a dès le début rayé de sa liste. Il me l'a signifié dès le premier jour, que ma vie ne serait qu'une descente aux enfers, que de la vie en apparence magnifique et pleine d'espoir que je venais de prendre, je ne ferais que plonger en apnée dans un abysse sans fond, n'espérant que l'instant où je me noierais définitivement.
J'y ai pensé déjà, à mettre fin à mes jours. Mais le suicide ce n'est pas pour moi. C'est pour les lâches. Je ne suis pas lâche. Je regarde les choses en face. Je les accepte puisque je n'ai pas le choix. Et plutôt que d'essayer de remonter à contre courant, je vais dans le sens de la rivière. Je suis la route qui m'a été tracée, non pas le projet de mes parents, mais la punition de mes parents d'avoir été trop heureux, d'avoir cru trouver le paradis, et que pour cet orgueil, Dieu précipita en enfer. Il n'a pas encore pu se résoudre à m'y envoyer, mais je sais que j'y ai ma place, et qu'il n'attend que la raison suprême pour poser son poing sur la balance. Dans sa miséricorde, il me laisse choisir mon pêché, même s'il ne veut pas croire que j'ai déjà commis les pires crimes. Si le meurtre ne marche pas, je choisi maintenant de décevoir et de détruire les gens.


he does not understand anymore.
Putain, seize ans. Tout s'est passé si vite. J'ai encore l'impression d'avoir huit ans, et d'être étendu sur le plancher du salon, vide, uniquement rempli par les reflets des nuages à travers la baie vitrée. En seize ans, j'ai eu le temps de connaître toute ma route et tout mon destin. J'ai eu le temps de tout perdre, si bien que je me demande ce que j'ai encore à perdre, mais je suis sûr que la vie trouvera, et puis elle finira par me l'ôter, la vie.
On dit que ceux qui n'ont rien n'ont rien à perdre. Alors ceux qui ont tout ont tout à perdre. J'avais tout, vraiment tout. Tout ce dont rêve les enfants et surtout les parents pour leurs enfants. C'est pourquoi je comprends quand on me dit que la déchéance moi et ma famille l'avons bien mérité. J'acquiesce en souriant, ce qui déstabilise celui qui pensait me blesser.
Mes parents étaient riches, ou presque sûrs de l'être. Ils étaient en pleine ascension sociale, mais ne pensaient pas y être déjà au faîte, le jour où je suis né. Car c'est tout de suite après ma naissance que les ennuis ont commencé. Et ce n'est qu'après que l'on s'est rendu compte que le bonheur était avant, au passé, et qu'on ne l'avait pas vu. On ne profite jamais assez du bonheur. Mais on ne peut pas savoir qu'il sera notre plus beau moment, alors qu'on espère qu'il y aura encore quelque chose de meilleur.
Mon père était un employé du ministère, gravissant les échelons à toute vitesse, et presque assuré de finir ministre. Fils de ministre, haha, la bonne blague. Non, je crois que Dieu n'a même pas pu me laisser l'imaginer. Mais le plus grand exploit de sa vie avait été de ramener, de convertir, d'acquérir, de gagner l'étoile montante du quidditch, et de la faire préférer l'Angleterre à sa France.
Tous les journaux et tous les gens qui les lisent connaissent l'histoire de ma famille, enfin, ce qu'on a voulu en dire, ce qu'on a voulu en faire, sans tout ce qu'on a préféré occulter. Tout le monde croit donc me connaître, croit comprendre, croit pouvoir compatir à ce qui m'est arrivé. Mais ils ne savent pas, non ils ne ressentent pas. Et puis il n'y a rien à compatir, c'est ce qui devait arriver et je l'accepte. Alors qu'ils arrêtent, de me plaindre tout le temps, je n'ai vraiment pas envie d'entendre ça toute la journée.


Dernière édition par Sunday E. Hyde-Dellange le Dim 11 Avr - 10:24:10, édité 2 fois
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sunny » et que le coupable soit puni. _
MessageSujet: Re: sunny » et que le coupable soit puni. sunny » et que le coupable soit puni. Icon_minitimeJeu 8 Avr - 9:44:09

he does not remember anymore.
La mémoire, les gens pensent souvent que c'est comme un gros sac, dans lequel on fourre tout, et d'où on peut piocher tout et n'importe quoi. Mais c'est plus compliqué que ça, c'est un fil qui se déroule, s'entremêle, se tranche, se mue. Cela ne vient pas comme un flashback au cinéma, pas comme un long récit du début à la fin. Non, tout est mélangé. Et rien n'est comme la réalité. Chaque événement, dès qu'il est passé, ne laisse qu'une trace, une image, une vue sur le passé, que les secondes qui s'écoulent ne feront qu'altérer, jusqu'à arracher, déchirer, troubler des visages entiers, et faire oublier des années, des décennies entières. Le grand sac de la mémoire ne peut tout contenir. Il est percé, et le sable des souvenirs ne fait que s'en écouler.
Je ne me souviens presque plus du visage de mes parents. C'est un sacrilège, me dirait-on. J'essaye parfois de m'en souvenir, mais ne me reviennent qu'une petite fossette au coin de la bouche, une mèche de cheveux rebelles ou un ongle rongé. Il y a les photos bien sûr, mais ce ne sont que de plats pigments figés dans l'instant. Peut-être que je n'essaye pas assez, mais ce qui a ne revient pas est définitivement perdu. C'est parti, c'est fini. Je tourne la page. Le passé ne sert qu'au présent, et je ne m'y enferme pas. Je l'oublie mon passé.
Malheureusement il y a bien trop de gens qui voudraient me le rappeler, quand je n'aspire qu'à redevenir une enveloppe vide de tout, à remplir de nouvelle choses qu'elle oubliera à nouveau. C'est ça la liberté : l'oubli. Mais les gens n'ont pas compris. Si je restais étendu des heures à regarder le ciel ou le plafond, ils ont cru que c'était parce que j'étais si accablé par le chagrin de la mort de ma mère, alors que je voulais juste laisser s'effacer toutes ses images dans l'implacable et frénétique torrent de la vie.
Quelques images sont restées, pourtant, comme si elles s'étaient accrochées à un rocher dans la rivière, et n'attendaient que de me mordre avec leurs gigantesques crocs ensanglantés. Comme cette tâche rouge sur le mur « C'est de la peinture. » avait-on dit. Mais il y avait quelque part plus loin le corps dont le seul mouvement était l'écoulement du sang. Je l'avais vu. Mais je ne me souviens que du sourire sur le visage, des ongles rongés tachés de sang, tachés de métal, de toute la peau tachée par la balle.
« C'est si horrible que vous avez préféré oublier. » m'a dit un psychanalyste, un des dizaines que j'ai vu, et qui n'a pas su trouver plus dans cette coquille vide que je m'efforce d'être. Ce n'est pas les images qui sont horribles. C'est ce qu'il y a derrière, elle avant elle. Les mots, les sons, les voix, ma voix. C'est l'absence, l'absence de mon père, l'absence de mon amour. C'est quelque chose que j'ai oublié. C'est la seule chose que je regrette d'avoir oublié. Ce devait être une voix bien trop faible, que j'ai à peine entendue moi-même, qui est sortie de ma bouche, m'a quitté à cet instant mais l'a frappée en plein cœur, la tuant sur-le champ.
Ce devait être un caprice, mon caprice d'enfant trop gâté. Ce n'est pas une erreur. C'est la punition. C'est ma faute. J'ai dit peut-être « Je vais te tuer » et je l'ai fais. Puis j'ai oublié. Mais ce souvenir, en passant dans la rivière, a creusé son lit, a tranché une plaie, et en fait couler le sang.


he does not play anymore.
« Tout est trop facile dans la vie » ai-je pensé un jour. C'est vrai qu'on peut si facilement changer de visage, s'inventer une autre histoire, mettre un masque et effacer tout ce qu'on a un jour été. Je l'ai fait plusieurs fois, beaucoup de fois. J'ai mis beaucoup de masques et j'ai fini par les fondre avec mon vrai visage. Mais finalement ne sommes-nous pas que ce que nous voulons bien en montrer? Il n'y a pas d'histoire d'intérieur et d'extérieur, d'apparences et de vérités. Nous sommes tout entier ce que nous sommes à un moment précis, même si nous croyions nous mentir, nous jouer de nous même.
Je ne suis qu'un acteur, un très bon acteur qui se laisse envahir par ses rôles, parce que je n'ai rien d'autre en moi pour donner un visage aux autres. Tout n'est que masque, tout n'est que jeu, tout n'est qu'acteur. La vie, c'est une vaste pièce de théâtre, sauf que nous en sommes les prisonniers. Ce n'est pas si facile de jouer, mais il suffit d'y croire. Moi dans ce jeu, dans ces rôles qu'on me donne ou que je m'invente, je me jette, peu importe si je me perds, car de toute façon je n'ai plus rien à perdre, et je n'ai pas peur de perdre.
J'ai pourtant cru parfois qu'il serait si facile de prendre un rôle et de regarder les autres qui croient que c'est là mon vrai visage. Mais encore faut-il trouver le ton juste. J'étais trop exagéré, bien trop quand je regardais mon père avec ces yeux froncés, du fond sombre de la maison quand la nuit, rentrant du travail il préférait se jeter sur son whisky plutôt que sur moi, puis quand il n'eut même plus de travail et que lui et son amie la bouteille pouvaient passer de si tordantes journées ensemble. Mais non, moi je n'y voyais que mon malheur personnel, le fait qu'il ne s'intéressait pas à moi, qu'il me délaissait, qu'il n'était pas comme ma mère. Et je préférais jouer ce rôle de l'enfant qui boude plutôt que de devoir regarder en face ses yeux injectés d'alcool.
Ce fut l'un des crimes qui allongea encore ma liste. Comme le premier, je pourrais le regretter, mais je sais que je ne peux rien y changer, et que le regretter serait éloigner encore le moment fatidique : la fin de mon errance absurde dans le monde. Cela aurait pu se passer ce soir où j'ai levé mon masque devant mon père, mais cela ne s'est pas fait. Je lui ai sourit et il a voulu aller me chercher un bon petit quelque chose à manger, et son amie lui a sourit aussi, et lui a fait prendre le chemin du milieu, celui qui n'existe pas et fonce dans les arbres.
La bouteille de whisky a eu beau m'arracher mon père, avec l'aide d'un tronc d'arbre je ne les en accuse pas. C'est moi le seul coupable. Comme quoi il n'est pas si facile d'être vide, et de n'être qu'un simple acteur qui lit son rôle. Les mêmes lignes, les mêmes répliques reviennent dans le texte. J'irais bien dire deux mots à l'auteur de ma vie. Mais pas de chance. Il n'est plus là.


he does not matter anymore.
Je ne suis qu'un petit con, au fond. Oui bien au fond c'est ce que je suis, et ce que je veux être. Quel ennui que d'être gentil avec les gens. Quel ennui que les gens gentils. J'ai essayé de l'être, au début, mais j'ai fini par en être lassé. A force d'être trop gentil, on fini par se faire foutre. Mais être méchant même, cela ne marche pas. Les gens ne comprennent pas. Ils disent « Il est tellement rempli de chagrin, qu'il se doit d'extérioriser ça en faisant du mal aux gens. » Mais je veux juste qu'ils ferment ce qu'ils viennent d'ouvrir inutilement, en voulant donner leur avis sur tout.
On a toujours voulu me plaindre, et excuser mes crimes, mais je n'en ai que faire de ces visages gentils, faussement gentils, qui s'arrêtent à peine une seconde pour me lancer un sourire désolé. Si je ne suis que la petite minute de compassion et de sentiments de la sorcière de moins de cinquante ans bien au chaud dans son fauteuil en tweed, autant ne pas être. Mais comme je n'arrive pas à cesser d'être sang et chair, je cesse d'être le petit garçon dont tout le monde croit connaître l'histoire.
Maintenant, je fais ce qui me plaît, ce que me dictent mes envies, je fais des expériences sur les gens. Je les fait croire que je suis gentil, que je suis bien le petit garçon à plaindre et je les jette à la poubelle. Qu'ils se roulent dans les ordures, je ne regarderait même pas. Je déçoit les gens, c'est ce que je suis voué à faire. Il y a trop de gens qui veulent faire le bien de la communauté, mais toutes ces histoires de bien et de mal, c'est dépassé. Ces histoires d'individus aussi. Je n'agis pas pour mon bonheur personnel, ni pour la communauté. J'agis, c'est tout. Basta. Fin de la pièce, Allez vous faire foutre.
Mais j'ai quand même été gentil parfois, et c'est un rôle qui me colle encore parfois à la peau. Dernière part d'innocence que je perdrais surement bientôt. La dernière chose que je pourrais bien perdre. Tout ce à quoi je me suis attaché, je l'ai perdu. Alors je ne m'attache plus à personne, je ne m'attache même plus à moi-même. Je peux bien crever, me faire défigurer, être humilié, je n'ai aucun amour-propre, je hausse les sourcils et je m'en vais.
Tous ceux qui ont essayé de m'adopter ont cru qu'en jouant des sourires, des gentillesses, ils me rendraient heureux, moi le garçon qu'ils croyaient le plus malheureux de la terre. J'ai souris, et puis je me suis retourné, j'ai suivi mes pieds jusqu'à l'orphelinat. Je me suis presque attaché à cet endroit. Aux personnes qui ont fini par comprendre que j'étais aussi insignifiant aux yeux du monde qu'eux, que je n'étais pas là pour être gentil, ni pour être méchant comme un petit bourgeois dont on aurait si subitement retiré sa cuillère en argent de la bouche. Mais je me suis trop attaché à ces murs fissurés peut-être, à ces lits qui sentent le vieux bois, à ces gens qui sentent l'absence. Un endroit vide, désespérément vide, qui me ressemble. Surement bientôt il disparaitra, lui aussi. Car rien ne subsiste en mon monde.
Puis il y a eu le château, la magie, un vaste cirque organisé, ou plutôt désorganisé. J'y ai découvert qu'on pouvait être le plus odieux personnage et quand même se faire pardonner. « Oh bah oui, c'est le pauvre Sunny. » Sunny, Sunny, toujours le pauvre Sunny. Je ne suis pas celui qu'il faut plaindre, je suis celui qu'il faut le brûler, je le crie, fort très fort, mais personne ne m'entend. Ces gens qui croient être gentils ne font que m'enfermer dans ce que je ne suis pas. Pourquoi ne pourrais-je pas être ce petit con, à l'opposé de ce qu'on voudrait penser? Les gens ne me connaissent pas, et ne veulent pas me connaître. Tant mieux parce que je ne veux pas les connaître, et je ne veux pas qu'ils me connaissent. Je les regarde un instant, les prends, les dévore, les déçois, les détruis. Et je m'en vais. The thrill is gone. Vous n'avez pas d'importance, moi non plus.


Dernière édition par Sunday E. Hyde-Dellange le Dim 11 Avr - 10:23:20, édité 3 fois
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sunny » et que le coupable soit puni. _
MessageSujet: Re: sunny » et que le coupable soit puni. sunny » et que le coupable soit puni. Icon_minitimeJeu 8 Avr - 9:44:31

          « now the killer was smiling with nerves made of stone.
          he climbed the stairs and the gallows groaned
          and the people's hearts were pounding, they were throbbing, they were red
          as he swung out over the crowd, i heard the hangman said :
          we're all gonna be just dirt in the ground »

          ▬ tom waits.

sunny » et que le coupable soit puni. 2vkna5j

DERRIERE L'ECRAN.
camille ou wednesday. dix-sept ans.
c'est encore noushka, qui est arrivée là grâce à sasha ♥
je ne le quitte plus. je vous aime ♥ et puis : tartiflette!
avec ash stymest.
assurdiato.


Dernière édition par Sunday E. Hyde-Dellange le Dim 11 Avr - 22:29:48, édité 2 fois
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LJ. Cokclhaène Millington

LJ. Cokclhaène Millington

– parchemins : 848
– copyright : abygaël ; pockecharm ; nxg
– études : Poudlard
– année : 5ème (a redoublé)


PENSINE
– âge RPG: 17 ans
– ascendance: sang-mêlé
– inventaire:

sunny » et que le coupable soit puni. _
MessageSujet: Re: sunny » et que le coupable soit puni. sunny » et que le coupable soit puni. Icon_minitimeVen 9 Avr - 4:43:10

    welcome to home g
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sunny » et que le coupable soit puni. _
MessageSujet: Re: sunny » et que le coupable soit puni. sunny » et que le coupable soit puni. Icon_minitimeDim 11 Avr - 22:30:48

Je pense en avoir fini q
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Ginger K. Morrison
    I WANT YOU BABY ♥

Ginger K. Morrison

– parchemins : 653
– copyright : sweet.
– année : septième année.


PENSINE
– âge RPG: dix-sept ans.
– ascendance: sang-mêlé.
– inventaire:

sunny » et que le coupable soit puni. _
MessageSujet: Re: sunny » et que le coupable soit puni. sunny » et que le coupable soit puni. Icon_minitimeLun 12 Avr - 2:52:51


    Waouuuuuh i
    J'ai aimé lire ta fiche, j'aime, j'aime.

    Pour la maison, je dirais Serpentard, mais bon, je suis pas très douée pour répartir les gens, alors si tu veux aller autre part, dis moi =D
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sunny » et que le coupable soit puni. _
MessageSujet: Re: sunny » et que le coupable soit puni. sunny » et que le coupable soit puni. Icon_minitimeJeu 15 Avr - 10:06:04

J'suis bête. 7
J'avais zappé xD

Serpentard, la maison des salopards! (c'était fait pour aller ensemble XD)
Sunnichou n'est pas un lâche mais bon, va pour le vert & argent q
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sunny » et que le coupable soit puni. _
MessageSujet: Re: sunny » et que le coupable soit puni. sunny » et que le coupable soit puni. Icon_minitimeJeu 15 Avr - 10:17:20

    c'est good <3
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sunny » et que le coupable soit puni. _
MessageSujet: Re: sunny » et que le coupable soit puni. sunny » et que le coupable soit puni. Icon_minitime

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