| | | But I'm sure, I'm sure, you've heard it before { Sidney K. O'Connell |  |
| | Auteur | Message |
|---|
 |  Sujet: But I'm sure, I'm sure, you've heard it before { Sidney K. O'Connell  Lun 26 Avr - 8:08:14 | |
| I ▬ VOS PAPIERS, S'IL VOUS PLAÎT
Nom : O'Connell
Prénom(s) : Sidney Keith
Date de naissance & âge : 27 octobre 1996, 17 ans.
Type d'étude : 7ème année.
Lieu de naissance : Manhattan, USA.
Lieu de résidence : Londres, UK.
Ascendance : Sang-mêlé
- Spoiler:
La présentation a été réalisée dans l'optique que Sid se trouvait à Serpentard, mais s'il y a un problème, faites le moi savoir ^^
Dernière édition par Sidney K. O'Connell le Lun 26 Avr - 8:12:23, édité 1 fois |
| | | |
| | Sujet: Re: But I'm sure, I'm sure, you've heard it before { Sidney K. O'Connell Lun 26 Avr - 8:11:24 | |
| II ▬ ET TOI PETIT SORCIER, QUI ES-TU ?
fan de musique • glandeur • peur des oiseaux • chante sous la douche • n’aime pas les dragées surprises de Bertie Crochue • dors tout nu • se plains souvent (notamment de l’humidité des cachots et de leur salle commune) • bagarreur • collectionne les boxers noirs • fume comme un pompier • aime les femmes, et les hommes • joueur
Caractère : On ne peut pas dire que la modestie soit la meilleure qualité de Sidney, encore moins la politesse, et sachez que le mot ‘motivation’ a été rayé de son vocabulaire. Parlons peu, mais parlons bien : Sidney est un chieur. Si ses moindres faits et gestes peuvent aller à l’encontre d’une personne, il sera l’homme le plus heureux sur terre, il est né pour être contradictoire : dîtes lui blanc, il vous répondra noir. C’est bien souvent ce côté de son caractère qui énerve et frustre les gens, ils en viennent même à se demander comment un sale gosse de ce genre peut exister. Parce que oui, soyons clair, il n’a rien à envié car en plus d’avoir l’esprit de contradiction, le jeune homme est un farceur, toujours à se moquer des autres et de leur faire des blagues, parfois stupides. En le voyant, les premières pensées qu’on peut avoir c’est que ce cher jeune homme est resté un réel gamin, et Sidney ne se fait pas prié pour montrer qu’ils ont raison. Il redouble d’effort dès le moment où on le traite d’enfant, manipulateur et égoïste, il ne pense qu’à sa personne : c’est lui d’abord, le reste viendra plus tard. On peut dire qu’il est une personne détestable, pas facile à vivre, en plus de ça il est mauvais perdant, ce qui fait qu’il n’a pas tiré les bonnes cartes. Mais en grattant un peu plus, on peut se rendre compte de certaines petites choses qu’on n’avait pas vu avant. Comme le fait que Sidney peut se révéler être une personne douce, dans le genre tendre avec quelqu’un, de déterminé et de fidèle à la folie, qui cache bien ses peurs en commençant par celle de découvrir justement le vrai personnage derrière l’acteur. Si la carapace est percée, on peut alors se rendre compte que ce Serpentard n’a pas un cœur si dur, même s’il ne perd pas ses principes, c’est toujours lui d’abord. Capricieux, il peut utiliser n’importe quels moyens pour obtenir ce qu’il veut, n’oublions pas qu’il est maître dans la manipulation.
En tant normal, il est un jeune homme dont l’esprit est fou, qui est vif et joyeux, on ne perd pas une seule seconde de son temps en sa compagnie, et ça tout le monde peut l’avoir facilement remarqué. C’est un glandeur né, tout le monde le dit, il passe la moitié de son temps à dormir et l’avoue lui-même, s’il devait être l’un des sept pêchés, ce serait la paresse. Malgré ça, il garde un sérieux penchant à l’autodestruction. Tout ce qu’il entreprend, il le fera, le perfectionnant jusqu’au possible, pour tout détruire ensuite.
Physique : On peut dire que Sidney a le profil type du gars qui en a rien à faire de la vie et qui, surtout, s’enfou de ce que vous penser ; il est là juste pour vous faire chier. Et ça se voit. Sid est plutôt grand, on pourrait le croire baraqué comme une armoire à glace, mais c’est pas tout à fait ça… On ne va pas aller jusqu’à dire qu’il ressemble à une crevette, bien évidemment, mais c’est pas non plus monsieur body bulding. Ce qui fait craquer les filles, c’est son air bad boy, à la masse, son air de glandeur, de chieur, et surtout ses yeux. Ses magnifiques yeux clairs, qui oscillent entre un vert d’eau et un bleu clair, un regard qui ensorcelle, qui transperce, qui sonde, qui devine tout de vous. Pour trancher avec ce regard pur, il y a ses cheveux noirs, sa plus grande fierté ; rasé sur les côtés pour dégager ses oreilles, et une longueur acceptable au-dessus pour en faire du grand n’importe quoi. C'est-à-dire, bien coiffé, avec des petites mèches sur le front, ou alors en crête, ou alors juste lever la frange, ou tout simplement un bonnet péruvien … Génial quoi. Pour ce qui est du style vestimentaire, là aussi c’est tout simplement du free-style. Sid affectionne particulièrement les larges t-shirts ou les larges débardeurs, mais déteste plus que tout porter des pulls, même en hiver. Ou alors, à la rigueur, il porte des chemises dont il relève les manches jusqu’aux coudes au moins. Des cols roulés ? Ca jamais de la vie. Pour ce qui est des pantalons, s’il pourrait se balader toute la journée en boxer, ça l’arrangerait bien, c’est pour ça que dès qu’il a fait un pas dans les dortoirs, il envois balader son pantalon dans un coin de la pièce au plus grand désarroi de ses compatriotes de chambre. Sinon, comme il doit avoir un bas pour être décent, il porte des jeans. Juste ça. Ou en été, il porte des shorts, bien sûr. Pour ce qui est des chaussures, c’est les converses, bien sur, ou les rangers, et rien d’autre ! Une particularité ? Ses tatouages, bien sûr. Sidney a une vraie passion pour les tatouages, et a tout le bras gauche tatoué, le côté droit du buste, à la naissance de la colonne vertébrale et en-dessous de la clavicule gauche. Il aime aussi les plugs, et en a un à chaque oreille.
Baguette magique : 29,2cm, fait d’un mélange de laurier et de chêne, et contient un poil de nez de troll une plume de phénix.
Dernière édition par Sidney K. O'Connell le Mar 27 Avr - 5:38:51, édité 3 fois |
| | | |
| | Sujet: Re: But I'm sure, I'm sure, you've heard it before { Sidney K. O'Connell Lun 26 Avr - 8:14:49 | |
| III ▬ T'ES CHOU, PARLE-MOI DE TON AVANT ET DE TON MAINTENANT
« Bordel, fais chier ! » La chaise que venait de lancer Sidney s’écrasa dans un bruit fracassant contre le mur. Plusieurs élèves s’éloignèrent de lui, conscients du mal qu’il pourrait leur faire, accidentellement ou non. Juste une ou deux personnes restèrent non loin de lui, des amis sans doute, et l’observaient avec appréhension. Que se passait-il ? « Sid… » l’appela Sunday, derrière lui, mais le brun ne semblait pas l’écouter, il attrapa un parchemin posé sur la table et sortit de la salle commune sans un mot. Ses pas l’avaient amené dans le somptueux Parc de Poudlard, sachant pertinemment que pour se calmer il aurait besoin d’une cigarette. Toute cette colère qui montait en lui, il ne savait pas comment la contenir, et il ne savait pas quoi faire. Se jeter dans le lac, et jeter en même temps sa colère ? Forcément le bon remède, et même s’il avait retiré son t-shirt et ses chaussures, et même s’il s’était approchés du bord de l’eau, il ne sauterait pas. Il le savait, l’image d’Anya était apparue dans son esprit comme un signalement, une interdiction. Il jeta un regard au Lac, et tira sur sa cigarette en s’éloignant de l’eau et se laissa tomber à l’ombre d’un arbre, là où il avait posé ses affaires. Anya était la seule personne qui lui restait de sa famille avec qui il avait gardé contact, sa chère petite sœur. Elle était elle aussi à Poudlard, en sixième année. Il faut dire que la famille O’Connell en a vu des mûres et des pas mûrs. Aujourd’hui, elle compte, au final, quatre enfants, un père et une belle-mère, et il faut préciser qu’elle a déjà vu passé une mère, une autre belle-mère, un chien, un enfant. Mais à la base même, il y a eu Sidney, né à Manhattan, rejoint un an plus tard par Anya, née elle aussi à Manhattan. C’était la famille de base, aimante, avec une mère et un père. La vraie Madame O’Connell, la vraie mère de Sidney et Anya. C’était une famille tranquille, ou du moins en apparence. Madame O ‘Connell ne supportait plus son mari qui ne lui apportait plus aucune satisfaction, et bien souvent des disputes éclataient le soir. « Un sorcier ?! Je me demande bien où tu es sorcier, tu n’es même pas fichu de nous ramener de quoi vivre ! » « Mes enfants ne manqueraient de rien si tu ne dépensais pas tout l’argent que je gagne dans l’alcool ! ». Une mère alcoolique et un père dont le travail fatiguait et rendait lasse. Ce simple souvenir donnait à Sid l’envie de frapper dans l’arbre qui le soutenait, mais il se retient et ferma les yeux, reposant sa tête contre le tronc. Un beau jour, Monsieur O’Connell découvrit que sa femme le trompait, et il ne pouvait accepter ça sous son toit. Il lui fit faire ses valises et la mit à la porte, sans demander son reste. Il ne reparla de sa femme jamais jusqu’au jour où la police était venue le chercher à son domicile et l’emmener à la morgue pour identifier un corps comme étant celui de sa femme –dont le divorce n’avait jamais été prononcé-, tuée par plusieurs coups de couteau dans la poitrine. Monsieur O’Connell fut suspecter quelque temps mais finalement le coupable se révéla être l’amant de sa femme. Il mit du temps à faire son deuil, pensant que c’était de sa faute si sa femme avait été tuée. La semaine d’après, il avait fait ses valises et ceux de ses enfants et étaient partit s’installer en France, là où une partie de la famille de sa mère vivait. Il promit à Sidney et Anya, qui réclamait leur mère, de leur acheter un chien.
Sid ne repensait presque jamais à cette partie de sa vie, il était bien trop jeune pour s’en souvenir, mais il savait que ce chien ne lui avait jamais vraiment plu. « Pourquoi tu me regardes comme ça, sac à puces ? » Le garçon, âgé de neuf ans, savait très bien que le chien ne lui répondrait pas, mais ce n’était pas pour autant qu’il l’aimait. La disparition subite de leur mère l’affectait encore, même après deux ans, alors qu’elle ne semblait plus du tout affectait leur père qui recommençait déjà à flirter avec une belle et jeune française. Dans le fond, sa maman avait raison, c’était quoi ce sorcier ? Il ne résistait même pas au charme d’une femme qui marchait dans la rue, surtout lorsqu’elle était perchée sur des talons vertigineux. Et lorsqu’il ramenait sa ‘‘petite amie’’ à la maison, il se pliait en quatre pour elle, voir plus si elle lui demandait. Une fois à table, alors qu’elle souriait de toute ses dents blanches à Monsieur O’Connell, Sidney demanda, sa fourchette pointée sur la française : « Papa, cette femme, c’est une sorcière hein ? Elle t’a fait avaler un philtre d’amour ? ». Son père changea de couleur, sous le regard féroce que lançait le garçon à la jeune femme, et il l’envoya directement au lit, ainsi qu’Anya. Le lendemain matin, Monsieur O’Connell semblait ravit, et lorsque ses enfants s’asseyait à table, il laissa tomber d’un air ravit : « Vous savez, hier soir Sid m’a beaucoup aidé ! J’ai pu révéler à Sophie que j’étais un sorcier, et elle n’a pas prit peur, parce qu’elle en connaissait déjà… Nous allons nous installer ensemble ! » Installer ensemble hein ? Sidney ria légèrement en observant le ciel, ses yeux à nouveau ouvert. Installer, c’était un bien grand mot, car juste après deux mois de cohabitation, ils s’étaient mariés. Un couple insouciant quoi. En plus de ça, sa chère Sophie s’était gardé silencieuse sur le fait qu’elle avait déjà une fille, du même âge que celui d’Anya. Monsieur O’Connell était aux anges, bien sûr, et avait acceptés Sophie et sa fille sans rien dire. Ils avaient alors, tout les cinq, emménagé à Londres, pensant que l’Angleterre était vraiment faite pour eux… Comme si un pays pouvait être fait pour un couple comme ça. Du haut de ses dix ans, Sidney détestait plus que tout cette situation, et lorsque Sophie avait déclaré que le chien devait rester à Nantes, il avait eu envie de la tuer. Oui, il détestait ce chien, mais Anya l’aimait bien, alors ça changeait tout. Malheureusement, à cet âge là, les pouvoirs se développaient chez les deux enfants O’Connell et ils ne les maîtrisaient pas vraiment, l’aîné faisant autant de dégâts que la cadette. Mais le vrai jour qui changea tout fut celui où Sidney ne maîtrisa pas du tout sa magie. Il était tranquillement avec sa sœur dans leur chambre et la regardait se coiffer les cheveux, lorsque la fille de Sophie était venue lui demander de jouer avec elle à chat perché. Anya accepta, bien évidemment, contente de jouer. Elle dû se percher et demanda à voix haute si elle pouvait se percher sur l’armoire, et ses dons de magie se révélèrent utiles puisqu’elle se sentie soulever dans les airs par magie et fut assise au-dessus de l’armoire. Anya se mit à rire, imité par son frère, alors que la fille de Sophie semblait inquiète, apeurée, et se mit à pleurer. « Vous n’êtes que des monstres ! » En entendant ça, Sidney arrêta de rire et la colère qui montait en lui fit voler les objets autour de lui, et il ne se rendait pas compte que l’armoire vacillait dangereusement. Soudainement, Anya cria alors que l’armoire chutait, mais elle réussit à flotter comme avant, et se posa en douceur sur le sol. Sid serra sa sœur dans ses bras et soupira, alors que des cris retentissaient derrière eux. En se retournant, ils virent alors que l’armoire avait continué sa chute, écrasée au sol, et était tombée sur les jambes de la fille à Sophie. Celle-ci déboucha dans la chambre, alertée par les cris, suivit par Monsieur O’Connell qui délivra la petite. Sophie hurla. « Vous n’êtes qu’une famille de dingues ! Monstres ! Vous avez faillit tuer ma fille ! » Elle prit ses affaires, sa fille, et disparut. Quelques semaines plus tard, Monsieur O’Connell reçu la demande de divorce de Sophie.
« Et après tout ça, je suis arrivé ici. » murmura Sidney en refermant ses doigts sur le bout de parchemin qu’il tenait entre ses doigts et l’envie de le jeter dans le Lac était plus fort que tout. Il s’en souvenait comme si c’était hier, lorsque le vieil hibou était venu lui apporter sa lettre pour Poudlard, et qu’il avait dû promettre à Anya de lui écrire tout les jours durant cette année, jusqu’à ce qu’elle le rejoigne l’année d’après. Entre temps, son père avait trouvé bon de flâner encore avec une anglaise, cette fois-ci, et à ce moment là Sidney pu poser un mot sur ce qu’il ressentait envers son père : haine. Il ressentait une haine terrible pour cet homme, lâche, qui n’avait aucune once morale, et ne savait même pas se débrouiller sans une femme dans sa vie. Le jeune O’Connell apprit à être rusé, malin, fourbe, ce que peu de gens apprécient, mais il a surtout réussit à être un manipulateur par excellence. Ce qu’il veut, il l’aura. Même si pour ça il doit utiliser des moyens peu recommandés, il le fera. En grandissant, Sidney avait réussit à mettre de côté le fait que son père n’était qu’un idiot, qu’il s’était remarié à une moldue qui avait deux enfants, et puis de toute manière Anya était avec lui à Poudlard, alors il n’avait pas besoin de s’inquiéter. Il apprit aussi que les femmes sont importantes, notamment pour son plaisir personnel, et qu’il n’était pas dépendant comme son père, mais lorsqu’il s’agissait de s’amuser il était souvent présent. On peut dire qu’il n’a jamais eu de réelles relations stables, étant donné le fait que ça le dégoûte d’une certaine façon, et ça lui fait peur grâce à ce cher Monsieur O’Connell. « Fais chier. » Sidney sortit sa baguette de son pantalon et la pointa sur le bout de parchemin. « Incendio. » Il regarda le parchemin prendre feu, lentement, et se sentit soulagé : il n’aurait pas à apprendre qu’il avait été signalé comme atteint d’une maladie attaquant les poumons à Anya. Les résultats de Saint-Mangouste avait été formel : c’était insoignable. Mais il s’en fichait, royalement. Le Serpentard se releva et mit les mains dans les poches de son jean et regagna lentement le château, son regard perçant planté sur les vitres de la Grande Salle où les élèves affluaient lentement.
Dernière édition par Sidney K. O'Connell le Lun 26 Avr - 8:24:35, édité 1 fois |
| | | |
| | Sujet: Re: But I'm sure, I'm sure, you've heard it before { Sidney K. O'Connell Lun 26 Avr - 8:18:26 | |
| IV ▬ OH, C'EST QUI DERRIÈRE LA VITRE DE L'ÉCRAN ?
Pseudonyme/Prénom : Morgane
Âge : 18 ans
Comment avez-vous trouvé le forum ? Double compte (Agnès), mais je suis trop amoureuse du forum quoi et puis je pouvais pas résister à faire un garçon 
Mot de passe : rictusempra
Avatar : Josh Beech
Dernière édition par Sidney K. O'Connell le Mar 27 Avr - 5:39:15, édité 1 fois |
| | | |
| | Sujet: Re: But I'm sure, I'm sure, you've heard it before { Sidney K. O'Connell Lun 26 Avr - 8:54:32 | |
| *bave*  |
| | | |
| | | | |
| | Sujet: Re: But I'm sure, I'm sure, you've heard it before { Sidney K. O'Connell Lun 26 Avr - 9:02:35 | |
| Oh bien sûr! Et je crois que même Noushka ne pourra résister |
| | | |
| | | | |
| | Sujet: Re: But I'm sure, I'm sure, you've heard it before { Sidney K. O'Connell Lun 26 Avr - 21:53:37 | |
| Oui volontiers pour Noushka *o*
Merci Lucette <3
EDIT: Présentation terminée :3 |
| | | |
| | Sujet: Re: But I'm sure, I'm sure, you've heard it before { Sidney K. O'Connell Mar 27 Avr - 10:18:46 | |
| Re-bienvenuuuuee  |
| | | | si'
– parchemins : 1114
– copyright : barda & white rabbit.
– métier : photoreporter.
| | Sujet: Re: But I'm sure, I'm sure, you've heard it before { Sidney K. O'Connell Mar 27 Avr - 23:59:21 | |
| Josh. <3
perfect, Serpentard ! (: |
| | | |
| | Sujet: Re: But I'm sure, I'm sure, you've heard it before { Sidney K. O'Connell Mer 28 Avr - 5:26:44 | |
| Merci ♥ |
| | | |
| | Sujet: Re: But I'm sure, I'm sure, you've heard it before { Sidney K. O'Connell | |
| |
| | | | | | But I'm sure, I'm sure, you've heard it before { Sidney K. O'Connell | |
|
| Page 1 sur 1 | |
| | Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
Accueil 
